Pour notre dernier jour dans la capitale portugaise, nous voulions visiter le musée Calouste Gulbenkian. Arrivées sur place, nous trouvons malheureusement porte close car le musée est fermé le mardi (c’était certes indiqué dans le Lonely Planet)… Faisant contre mauvaise fortune bon coeur, on se promène dans le jardin qui jouxte le musée.
On redescend ensuite vers le parc Edouard VII puis on marche le long de l’avenue da Liberdade, équivalent lisboète des Champs-Elysées.
On déjeune au Mercearia do Século (rua de O Século 145), petit restaurant proposant de délicieux plats portugais. En guise de promenade digestive, on arpente les rues du Bairro Alto. Comme partout à Lisbonne, les couleurs des façades m’épatent.
Faute de pouvoir retourner à Belém acheter des pasteis de Nata dans la célèbre pâtisserie, on se rend dans une boutique, située rua do Loreto, conseillée par un des employés de l’auberge. On entre ensuite dans une boutique spécialisée dans les conserves de sardines. J’en achète deux (il y a vraiment l’embarras du choix !). Le hic, c’est qu’elles me seront ensuite confisquées à l’aéroport car leur volume dépasse légèrement les 100 mL. Eh oui, il y a de l’huile dans les boites de sardines, par conséquent ce type de produit est assimilé à un liquide… Bref, il aurait fallu que je les place en soute, or je n’avais qu’un bagage à main (donc missions impossible !).
Le Convento do Carmo est le dernier monument que nous visitons. Cette ancienne église gothique s’écroula lors du tremblement de terre de 1755 et ne fut jamais reconstruite. J’ai trouvé ce site très impressionnant.
Nous retournons à l’auberge chercher nos sacs avant de prendre le métro pour rallier l’aéroport. Le trajet nous semble plus long qu’à l’aller. Si comme nous, vous voyagez avec une compagnie à bas coûts, il vous faudra monter dans un bus pour rejoindre le terminal 2.
Lisbonne, c’est (déjà) fini… Il est donc venu le temps du bilan !