Au musée national d’Ecosse

Le National Museum of Scotland doit être le plus grand musée d’Edimbourg. Il est immense et, pour tout dire, je ne pensais pas que les collections étaient si nombreuses et si variées. Entre les sciences, les animaux, la géologie, les techniques et l’astronomie, il y en a vraiment pour tous les goûts.

On fait une pause déjeuner à la brasserie du musée avant de poursuivre avec les collections consacrées à l’Ecosse. Ce musée est particulièrement intéressant et est, de surcroît, très interactif. Nous avons, je l’avoue, passez beaucoup de temps sur un petit jeu de réflexe (parmi de gros boutons, il faut appuyer sur celui qui s’allume et en toucher un maximum en une minute).

C’est déjà la fin de l’après-midi quand nous sortons du musée. On se promène dans les rues d’Edimbourg.

Je m’achète une robe dans une boutique qui répond au doux nom de Cookie (29 Cockburn Street). Pour ce dernier dîner écossais, on choisit un restau végétarien, le David Bann (56-58 St Mary’s Street), et c’est très bon !

On rentre à la St Christopher’s Inn faire nos sacs car l’avion décolle tôt le lendemain. Une chose est sûre, je ne garderai pas un souvenir impérissable de cette auberge. Peu conviviale (le seul espace commun est une pièce sombre qui ressemble davantage à une arrière-salle de bar qu’à un salon) et sale (les toilettes de la chambre ont dégagé une odeur peu conventionnelle pendant notre séjour et ce n’était pas beaucoup mieux du côté des sanitaires et douches collectifs…), je ne recommanderai pas cette adresse. Un point positif tout de même, la St Christopher’s Inn est idéalement située.

L’Ecosse, c’est (déjà) fini… Quelque chose me dit que c’est l’heure du bilan !