Qui dit dernier jour, dit bouclage du sac à dos… Une fois cette tâche effectuée, on marche en direction de la Tokyo Sky Tree. Du haut de ses 634 mètres, elle est particulièrement imposante.
De nombreux magasins (dont une boutique spécialisée dans les petits trains – ce n’est pas la première que je vois au Japon -) et restaurants occupent les premiers étages. Deux plateformes d’observation, le Tembo Deck et la Tembo Galleria, coexistent. L’accès à ces deux points de vue est payant. Pour le premier, il vous en coûtera 2 060 yens, auxquels il faudra ajouter 1 030 yens si vous souhaitez vous aventurer sur le deuxième. Des billets coupe-file sont proposés (à un tarif évidemment plus élevé). Aujourd’hui, c’est samedi, ce qui explique probablement le temps d’attente.
La première plateforme offre une très belle vue sur Tokyo. Des panneaux en verre posés au sol permettent de profiter d’une impressionnante vue plongeante.
Le deuxième niveau fera également le bonheur des photographes mais, honnêtement, je n’ai pas vu de grande différence entre les deux paliers.
Midi approchant, on mange nos dernières ramen dans un restaurant de la tour.
On marche ensuite vers Asakusa, quartier où est situé notre hôtel mais dont nous avions réservé la découverte au dernier jour. Le principal lieu d’intérêt est le temple Senso-ji et force est de constater qu’il attire les foules ! Pour y accéder, il faut passer par une longue artère commerçante parsemée de magasins de souvenirs (dans lesquels on trouve un large choix d’articles sauf peut-être des cartes postales, visiblement assez peu répandues au Japon).
Le temple est bondé, je pense que le fait que l’on soit samedi n’y est pas étranger.
Le petit jardin du temple est très agréable.
On déambule tranquillement dans le quartier avant de passer à l’hôtel récupérer nos sacs. Pour rallier l’aéroport, on marche jusqu’à la station Asakusa pour prendre le train vers Narita. Celui dans lequel nous montons n’étant pas direct, nous sommes gratifiés d’un bon nombre d’arrêts mais l’essentiel est d’arriver à bon (aéro)port !
Comme quinze jours plus tôt, nous transitons par Abou Dabi. L’escale est plus longue qu’à l’aller et la climatisation, réglée à fond, de l’aéroport ne rend pas l’attente particulièrement agréable.
Voilà, le Japon, c’est fini… Reste le bilan !